Proullaud296

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der grüne Affe - Page 94

  • Nouvelle note

    Mes documents ô comobien présssssieux seront-ils sauvegardés afin que je pisse non , que je puisse vous en faire profiter ? Tout fire, écran, tour, enfin le truc qui vous met tout le visage en sueur comme si votre vie en dépendait, mais à quoi ça touche-t-y donc l'ordi pour qu'on s'énerve comme ça ? En ce moment, je tape depuis la Médiathèque de Mérignac gnac gnac.  Bon ben pas d'images non plus, ce sera maigre.

  • Chichis de Peyrefitte

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  • Florence Dupont remet en cause la langue des connards

    Florence Dupont est intelligente, érudite, bouscule nos idées reçues, en possède elle-même trois ou quatre, mais a le tort pour nous autres de les délayer, de les expliquer, de les expliciter, ce qui est assurément indispensable, sur plus de 300 pages. C'est donc le moment de juger sur pièces de cette Antiquité, territoire des écarts, dont malgré tous les efforts de l'autrice je n'ai pu comprendre le sens.
        Donc, Oreste, assassin de sa mère pour venger son père Agamemnon, va passer de la douleur à la colère, et voudra racheter l'offense faite à la mère-patrie, deux mots qui unissent paternité et maternité, patricide et matricide : cependant, poser en axiome l'idée de mère soluble dans l'idée de mère patrie   nous semble une commodité voisine de l'entourloupette, mais voyons.  Les spectateurs viennent pleurer en écoutant l'aulos, flûte double non sans parenté avec le duduk arménien. Toutes les péripéties, inventées par les auteurs antiques bien souvent, ne sont là que pour se lamenter avec le flûtiste, car un des moyens de créer le paradoxe est de traiter l'essentiel comme accessoire et l'accessoire comme l'essentiel, à vous Florence : la douleur se transforme en colère, « deux moyens y contribuent : la musique et le récit », car les tragédies antiques tenaient du futur opéra. « Le chœur annonce lui-même qu'il va utiliser d'autres rythmes musicaux, des rythmes phrygiens encore plus douloureux » - c'est là qu'il va falloir pleurer, public : nous sommes en pleine distanciation brechtienne, hé oui... «Parallèlement, sans chanter, Electre » (sœur d'Oreste) « raconte les souffrances que Clytemnestre » (la mère) « et Egisthe » (amant de la mère) « lui ont infligées, pour susciter l'indignation d'Oreste et ainsi alimenter la douleur créée par la musique. Avec succès. La musique s'arrête. Elle est devenue inutile. Oreste va venger son père, Electre va pouvoir se marier. L'un et l'autre vont devenir un homme (anèr), une femme (gunè).
        C'est donc cette substitution du récit à la musique, dit une collègue avec laquelle Florence Dupont dialogue, qui constitue le cœur de la critique que vous faites d'Aristote ce « vampire » de la tragédie...
        Je connaissais bien, répond Florence, le texte de la Poétique d'Aristote ; j'avais suivi régulièrement dans les années 70 le séminaire de Jean Lallot et de Roselyne Dupont-Roc à rue d'Ulm » (et non pas rue d'U-L-M comme on l'a entendu à l'antenne) : chaque samedi matin l'on étudiait tous les termes du texte à la lumière de la linguistique contemporaine. Jean Lallot et Roselyne Dupont-Roc ont ensuite publié au Seuil cette édition qui est aujourd'hui l'édition de référence » (note 1, Aristote, La Poétique, texte, traduction, notes par Roselyne Dupont-Roc et Jean Lallot. Paris, Seuil, coll. « Poétique », 1980). « Et c'est à ce moment-là que j'ai remarqué la place qu'Aristote donnait au muthos, au récit, qui devenait le but (telos) de la tragédie. J'ai entrepris de travailler  la question après la parution de L'Insignifiance tragique » (ou la « Non-Signifiance », ce qui serait mieux) et après avoir lu le livre de Sophie Klimis sur ce sujet » (nous vous épargnons la note 2, tant pis pour Sophie Klitis pardon Klimis). « C'est elle qui a achevé de me convaincre que le  muthos, » le mythe, l'intrigue, « est une catégorie créée par Aristote afin de faire de la tragédie un texte et non un évènement spectaculaire. À force de travailler sur les tragédies, je savais qu'elles n'étaient pas la représentation d'un récit ; par conséquent, le texte d'Aristote était en porte-à-faux par rapport aux pratiques réelles des Athéniens.
        « J'ai regardé systématiquement comment la Poétique était fabriquée pour comprendre ce qu'était le muthos », le récit mythologique, « et je suis arrivée à la conclusion qu'Aristote a retiré la codification externe qui construit la tragédie, c'est-à-dire l'action musicale, la récurrence des chœurs » qui ne viennent pas là du tout comme des cheveux sur la soupe, « le jeu codifié des acteurs, bref tout ce qui préexiste à ce qu'on appelle le texte et ce dans quoi il va se loger et prendre forme comme dans une coque. Je continue la comparaison. Si l'on retire cette coque, comme on sort un mollusque de sa coquille, on obtient une chose molle et sans forme. Aristote va faire de ce mollusque un vertébré et lui inventer une colonne vertébrale : ce sera le muthos, » le mythos, « le récit, à partir de quoi il réorganise les parties de la tragédie comme des membres. Voilà pourquoi, en termes aristotéliciens, le muthos est l'âme (psuchè), c'est-à-dire la forme de la tragédie.
        « L'analyse aristotélicienne de la tragédie est une construction intellectuelle extraordinaire, mais qui n'a rien à voir avec les concours musicaux des Grandes Dionysies. Le discours d'Aristote est clos sur lui-même, bétonné jusqu'à l'absurde. Il va jusqu'à affirmer, par exemple, que le chœur est un personnage comme un autre. Et la conclusion s'impose, paradoxale : la tragédie pour s'accomplir n'a pas besoin d'être jouée ; la lecture suffit, comme pour l'épopée. Même la fameuse catharsis », la purification des passions,  est réalisée dans la lecture.

    La robe de chambre.JPG


    « Que nul n'entre ici », intervient l'interlocutrice, « avec la Poétique d'Aristote, telle est devenue la devise de votre séminaire...
        Parce que je ne voulais pas, » poursuit Florence Dupont, « à chaque cours sur le théâtre, avoir à recommencer la démonstration qu'Aristote ne nous servirait à rien. Il faut traiter la Poétique comme un texte philosophique, construit, systématique, et ne jamais le considérer comme un traité sur le théâtre, dont finalement il ne parle pas. Laissons la Poétique aux philosophes professionnels et abordons les théâtres anciens non par le récit, mais par le chant, la musique et la danse.
        « Le premier à l'avoir fait est Pierre Letessier » (note 1 : Agrégé de Lettres classiques, auteur, comédien, metteur en scène et omettons le reste par pitié) « en montrant que les comédies romaines étaient des comédies musicales composées à partir de l'alternance de scènes chantées et dansées (cantica) sur une musique de tibia, équivalent romain de l'aulos et de scènes parlées sans gestuelle (diuerbia). Cette alternance est régie par une codification qui organise tout le jeu des acteurs ; par exemple, quand un personnage sort d'une scène chantée, la musique de tibia » (une flûte, évidemment...) « s'arrête, et la fin de la scène est parlée. Autre exemple où l'on voit que la musique organise aussi l'espace de jeu. Le devant de la scène (platea) sert aux entrées de rôles lorsqu'un personnage fait son entrée pour la première fois, en dansant sur un type particulier de canticum en vers polymètres. Il s'installe dans la platea et, tant que dure le canticum polymètre, personne ne peut engager le dialogue avec lui ni entrer dans son espace (la platea). Les autres acteurs en sont réduits à des apartés depuis le fond de la scène. Cette règle induit un type fréquent de séquence : la rencontre, c'est-à-dire le passage négocié entre deux personnages, parfois sur des dizaines, voire des centaines de vers, du canticum polymètre » (disons pour simplifier « de plusieurs sortes de vers »)  au canticum monomètre (le plus souvent des septénaires trochaïques), c'est-à-dire du monologue au dialogue qui va les opposer. Le basculement a lieu quand l'un et l'autre s'interpellent par leur nom et se saluent (salutatio). »
        Nous voyons donc l'imbécillité des commentaires sur le réalisme et la vraisemblance, qui n'ont rien à faire ici. Absurdissimes et malhonnêtes sont aussi les éditions qui présentent le théâtre antique avec des notions d' « actes » et de « scènes » qui ne correspondent à rien. Plus encore quand ces éditions présentent des listes de personnages, en français, soit, mais aussi en latin reconstitué, pour faire joli. L'Antiquité, territoire des écarts, par Florence Dupont née Grimal, chez Albin Michel, collection « itinéraires du fascisme » pardon « du savoir ».

  • Achoura ("tamkharit")

    ACHOURA  (au Sénégal, Tamkharit)
    GENERALITES

        Les sunnites (musulmans orthodoxes pour lesquels les quatre premiers califes sont les successeurs de Mahomet) considèrent cette célébration comme mineure ; certains organisent des festivités. En 680 – 61 de l'Hégire – Hussein, 4e calife de l'islam, lève une armée  à La Mecque et marche sur l'Irak, pour faire valoir ses droits à la succession  califale après l'assassinat de son père Ali, gendre de Mahomet. Après un siège de dix jours de la ville appelée Koufa, Hussein et son armée sont défaits par les troupes du calife Yazid 1er. La tradition rapporte que Hussein fut décapité et son corps mutilé à Kerbala, où se trouve son tombeau, lieu saint des chiites. Les têtes de Hussein et des membres de sa famille furent exposées sur des lances. En revanche, les chiites (fidèles aux descendants d'Ali mort en 661) célèbrent en ce jour cet assassinat des deux petits-fils du Prophète, Hassan et Hussein, et de 72 de leurs disciples, en l'an 61 de l'Hégire (680).

    DATE
        Le 10e jour du mois de Mouharram («achara » signifie « dix »), il se mène un grand deuil. Mais selon les haddiths pris en compte, ce jour-là commémore aussi bien l'échouage de l'arche de Noé, Moïse dans le feu, Adam quittant le paradis terrestre.
        En 622, Mahomet trouvait à Yathrib (la future Médine) une tribu juive. Le jour de son arrivée, elle célébrait le Yom Kippour. Mahomet reprit ce jeûne rituel. Or, deux ans plus tard, l'obligation du jeûne de Ramadan lui était révélée : Achoura devient alors simplement recommandé, mais non plus obligatoire, à condition de jeûner deux jours pour se différencier du judaïsme. Ce serait donc à l'origine une fête juive. Le Prophète, interrogé par ses disciples sur la nécessité d'observer un jeûne ce jour-là, répondit que Moïse était « plus proche » d'eux que les autres.  « Dieu remet les péchés d'une année passée à quiconque jeûne le jour d'Achoura. » Cette fête marque la liaison entre deux religions, le Judaïsme et l’Islam. C’est un « lien naturel et historique entre deux communautés fraternelles » que tout semble opposer de nos jours, expliquent unanimement M Rais et Merrun Khalil

    PELERINAGE DE KERBALA
         C'est à Kerbala qu'a lieu, en Irak, le pèlerinage principal. On y célèbre le martyre du second et dernier fils de l'imam Ali, Sidna al Hosseïn. En Iran se donnent des représentations théâtrales (les tazieh, « Passions d'Al-Hosseïn »), et des centaines de milliers de pèlerins procèdent à des cérémonies expiatoires (flagellation, coups que l'on s'inflige sur la tête et sur tout le corps, jusqu'au sang). C'est pour les chiites un grand jour de deuil, et non pas une fête. Le blanc, couleur du deuil, était aussi la couleur des Omeyyades (qui ont régné à Damas de  661 à 750) ; le noir fut celle des Abbassides, alliés, au moins au début, des chiites contre les Ommeyyades.


    COUTUMES
        Elles ne figurent pas dans le Coran, ne sont donc pas « recommandées », mais demeurent très populaires.
        En Tunisie, on visite les morts. On allume des bougies autour de la tombe du saint patron du cimetière. « Que Dieu entende les plaintes des vivants. Que Dieu exauce les vœux des démunis. Puisse Dieu alléger les souffrances des plus faibles. En ce jour toutes nos pensées se tournent vers eux. » On saute au-dessus des feux pour se purifier. Les enfants récoltent de maison en maison des bonbons et des pièces de monnaie, dans un roseau qu'on appelle, à Gabès, « achoura ».
        Habillés de neuf, les enfants marocains reçoivent des cadeaux, tambours, trompettes, s pétards – et pistolets à eau. Cela peut ressembler à un carnaval ou à un quatorze juillet... On mange un couscous au « gueddid », viande séchée depuis la Fête du mouton, des noix, des amandes, des dattes. Le lendemain de l'Achoura, c'est « Zem-Zem », allusion au puits du même nom en Arabie Séoudite, où se désaltéra la caravane de Mahomet. Les enfants aspergent les passants avec leurs pistolets, ou des bombes à eau (sacs et ballons de plastique), des seaux... tout est bon ! Le soir, la fête continue avec a « chouâla » (feu rituel) au-dessus duquel on saute. Fête de l'enfance donc, et des traditions familiales.
        Au Sénégal, un « carnaval » est organisé.

    SIGNIFICATION

         Cette manifestation revêt une signification spirituelle et sociale indéniable. C'est aussi un jour de partage et de charité. Il rappelle l'obligation de faire l'aumône, contribution matérielle (zakat), destinée à assister les plus démunis.  Elle revêt toutefois différentes significations : pour les sunnites, elle marque le début de festivités, pour les chiites, c’est une journée de deuil  C'est aussi un jour de partage et de charité.

  • De Gaulle, ne reviens pas, nous ne sommes pas fous.

    Le chevalier au torse nu.JPGCE "CHEVALIER AU TORSE NU" est d'ANNE JALEVSKI

    Notre général, enrayeur sans plus du déclin de la France, distribue les compliments avec condescendance, pour mieux assommer par la bande. Les régiments (…) de Tunisie, bien qu'ils aient été naguère partagés en tendances variées, se montraient unanimement ombrageux de leur esprit de corps. De Gaulle, seul recours de l'unité française... Grand rassembleur des énergies, mais j'interromps la litanie. Mais, quels que fussent les détours par où le destin avait mené les uns et les autres, la satisfaction de se trouver côte à côte, engagés dans le même combat, l'emportait sur tout le reste dans l'âme des soldats, des officiers, des généraux. C'était la même chose, mon général, au temps de l'amalgame révolutionnaire, en 1792/93.
        Le combat est le meilleur ciment, et l'on aura trouvé bien des voix, dans nos féminines dissertations de premières, pour blâmer ce barbare qui souhaitait la guerre afin de ressouder la nation sur le corps de l'Allemagne. Ces demoiselles contemporaines auront vigoureusement blâmé ce désir de meurtres, au nom des principes qui nous étouffent, par exemple : « Un chien vivant vaut mieux qu'un philosophe mort ». De même, en Yougoslavie, nous n'allions tout de même pas, Messieurs les Politiciens, « ajouter la guerre à la guerre » en secourant les Bosniaques... Notre nation n'est plus qu'une pâte à chewing-gum. Il faut dire que, dans les villes et les villages traversés, l'accueil de la population ne laissait pas le moindre doute sur le sentiment public. A notre tour donc d'enfourcher le cheval à clichés, d'opposer les acclamations populaires aux tribuns aux sages consultations électorales censées représenter la démocratie.
        Ajoutons que le général de Gaulle n'était souvent connu de nous qu'à travers les revues satiriques, et mes ressentiments personnels à l'égard d'une personnalité puritaine, alors que j'étais en pleine éclosion postpubertaire. Nous nous apercevons à présent qu'il y avait de quoi ressentir de la fierté devant tant d'acclamations, et que nous eûmes de la chance d'échapper à ces monstrueux cultes de personnalités qui se sont manifestés avant et bien après notre libération. Autre élément ayant orienté nos appréciations, le fait que le général ait souvent résidé, dirigé aussi, depuis Alger, qu'il connaissait bien, s'appuyant sur l'Empire colonial quand il le fallait, jouant au petit maître du monde avec ses moyens dérisoires et prétentieux, mais sachant s'en débarrasser à temps sous la pression soit des contraintes financières (la France désormais ne pouvant plus ni exploiter éhontément l'Afrique, ni la hausser socialement à notre niveau comme l'exigeait enfin l'humanisme, ni conserver l'Algérie après tout le reste sous les yeux d'une opinion internationale déchaînée).
        Moyennant quoi, nous pouvons passer au général de Gaulle une certaine estime de soi-même, et un certain orgueil, voire un orgueil certain. Depuis nous nous avachîmes jusqu'à François Hollande.  En vérité, l'armée française, dans les proportions malheureusement réduites où il était possible de la refaire, montrait une qualité qu'elle n'avait jamais dépassé. Combien d'hommes, mon général ? Et pourquoi n'a-t-on voulu se souvenir que des troupes débandées parmi la population fuyante ? Pourquoi n'avons-nous pas voulu revivre les horreurs de Quatorze, et les Allemands, si ? Nous aurait-il donc fallu la propagande nazie ? Sans compter que, dès Le chagrin et la pitié, le mythe gaullien de la résistance universelle volait en éclat sous les sarcasmes.
        C'est ainsi que la France, donc, échappant à la fois aux dictatures et aux partis uniques, tels qu'il s'en formera dans nos anciennes colonies, marquait alors une belle unité. C'était le cas, au premier chef, pour la 2e Division Blindée. C'est elle qui délivrera Strasbourg, qui possède une avenue à son nom. Ma directrice de traduction allemande s'étonnait que l'on pût donner une appellation si peu pacifique à une grande avenue. Sacrés germaniques, devenus pacifistes ! Le 25 septembre, quittant la zone du général de Lattre, j'allai la voir à Moyen, Vathiménil, Gerbéviller. Ce sont là de beaux pays, mon général, proches depuis mille ans de l'ennemi héréditaire, ce qui soude d'emblée tout le monde, loin des « divisions » celles-là « partisanes », contre lesquelles vous ne cesserez de lutter. Pendant son court séjour à Paris, cette division avait recruté plusieurs milliers de jeunes engagés.

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  • La crémation

    C'"est curieux : avant, j'étais "contre". Ayant écrit ou projeté un article VI-RU-LENT pour dissuader de se faire profaner le corps par une pratique barbare. Et j'ai assisté à une cérémonie toute simple et grande à la fois, avec un personnel d'un tact parfait, sans désinvolture mais sans affectation non plus. C'est au crématorium de Mérignac-Pessac en Gironde, où tout le monde est traité avec tact et sans lourdeur. La crémation s'effectue ailleurs, on n'entend aucun bruit ni même une rumeur. De quoi songer sinon à modifier mes conditions du moins à nuancer mon appréciation.

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