Proullaud296

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der grüne Affe - Page 80

  • Hommage à mon ami

    J'ai été déçu. Ce n'était pas ce grand octogénaire bien bâti qui m'attendait sur le quai de La Corbine, mais un autre, plus petit, caché, souriant, qui m'accueillait pour m'emmener chez lui. Nous nous connaissions par bulletin interposé, appelé Le Cercop, parce qu'il contaminait tous ceux qui le lisaient ? ainsi le cercopithèque avec ceux qui l'enculent, infectant de son virus les verges qui le pénètrent. Kostras m'emmena sur les hauteurs, dans une maison basse dont il était propriétaire, et me logea dans la chambre de son fils absent. Dès le premier soir il me proposa de nous tutoyer. Nous avions 17 ans de différence d'âge, lui plus de 80, moins de 70 pour moi. Ces âges sont devenus très courants, et notre amitié survécut 9 ans (trois pour Montaigne et La Boétie).

    La Corrèze, à Tulle ROMN.JPG

    Je ne m'étendrai pas sur la sympathie mutuelle que nous dégagions, sur les discussions et les silences, sur mes longues promenades à La Corbine d'En Bas, un peu longues : « Tu n'es pas dans une pension, ici ! J'aimerais te voir aussi de temps en temps ! » De fait, tout chez moi est ressenti comme artificiel. C'est un défaut que j'ai. Quand il est mort, dernièrement, il m'a hanté 48 heures, et j'ai moins pleuré que pour mon chat. Il m'écrivait « j'ai souffert à la mort de chacun de mes Félix », et ne voulait plus d'animaux. Il me servait des cailles toutes rôties ; les cailles, sanglées côte à côte sous leurs emballages, m'intimidaient.

    Leurs os friables donnaient l'impression de manger des êtres vivants, des oiseaux qui avaient gambadé ou souffert dans des cages à gaver. Les derniers temps, je me servais tout bonnement dans le frigo. Kostras à peine mort, déjà je l'embaume, pendant qu'il est chaud. Il me reprochait de tricher, de feindre l'éloignement et la misanthropie, alors que j'étais bourré de relations, même désapprouvées par moi. Il avait lu mes revues, toxiques, ou bien fades, m'avait envoyé ses œuvres, fines et fades, sur de menus incidents de sa vie ou de sa mythologie personnelle, issue des Grecs dont il était issu. À présent faisons un plan, mettons au moins de l'ordre, sinon mes lointains lecteurs d'après l'Apocalypse n'y comprendront rien. Je suis professeur de grec et de latin.

    Les neuf dixièmes des littératures de ce temps-là ont péri dans le naufrage de leurs civilisations. « Des langues mortes », répétait Dogremont, en raclant sur le r. Les enseignants de basse antiquité furent de grands éliminateurs de tous les talents inférieurs, et reproduisaient sans mesure les meilleurs. À ce jeu disparurent 90 % des auteurs, dont nous n'avons plus que les noms et les titres. Je ne pus que frémir en acquérant tel ouvrage du XIXe siècle intitulé « Recueils des meilleurs auteurs de second ordre ». De second ordre… Kostras révérait la Grèce, dont la langue vivait encore à Carghèse, Il a vu le Chili, la Chine et le Sénégal, mais d'Athènes ou Thèbes pas un mot. Nous regardions de gros albums traditionnels, garnis de photos argentiques, et je le faisais commenter à l'infini. « J'aime voyager loin » disai-il, « j'aime les grands espaces ». Mon budget mal tenu ne me permettait que de petits voyages, concentrés mais fervents. Traditionnellement, avant de repartir, j'offrais un beau livre. C'était Tchang, un Chinois, ou la méthode Assimil de grec ancien, chapeautée par Geneviève de Romilly (deux fois…) Sa bibliothèque était à ma disposition. Mais jamais je n'aurais commis le moindre larcin. Il me téléphona un jour pour me demander ce que j'avais bien pu faire d'un réveil de Serge, son fils, que je me suis longtemps obstiné à prénommer Alfred.

  • Qui a bite à côté ?

    Boris joue le tout pour le tout. Il va se poster, sans se montrer, sur le trottoir, tout près de la porte ; le code est faux ; alors il se glisse derrière un locataire qui lui tient la porte. Il voit tous les noms d'un coup sur les boîtes aux lettres : des Italiens, des Français de Corse, des Bretons. Un certain Dombryvine. Abdelkourch. Lornevon. Le courage lui manque ? non, l'idée même de monter au troisième – "bon sang, c'est trop stupide, j'y vais" - mais dans le couloir, là-haut, les portes sont anonymes ; la minuterie allume sur le bois des lueurs de montants de guillotine. Boris redescend très vite dans le noir en s'insultant ; il aura mal retenu la disposition des lieux. Mais le lendemain, il récidive. La rue grouille. Le même homme lui tient la porte. Cette fois il s'attarde : au troisième – ni médecin donc, ni voyante, rien de ce qui se visite – il distingue vers le fond une fenêtre sale : exactement dans l'angle mort de sa fenêtre à lui. Impossible de voir ; de retour au 24, Boris fait son croquis : appartement 303.

    Manque l'âge, le nom, le sexe. Le sexe manque. Ne pas lâcher prise. “Qu'est-ce que tu lui veux à Madame Vachier ? - Juste parler avec elle. Tu vas aussi lui demander ce qu'elle pense de moi, d'où je viens, qui c'est ma mère... - Ce ne serait peut-être pas inutile. Tu veux savoir qui habite à côté  ? Tu manques de femme?... - Il y a toi. - Cochon. - Je ne veux pas que tu ailles chez la concierge. - Moi aussi je manque de femme. - Elle est grosse, elle est moche, elle est mariée, dit Boris. Il va voir le mari de la concierge. C'est un Alsacien à gros ventre et bretelles, loucheur, boiteux ; Boris met au point une histoire à dormir debout : « Je suis fonctionnaire à l'immigration ; la locataire - il choisit le sexe - du 237 n'est pas en règle. » Monsieur Grossmann - il ne porte pas le même nom que sa femme - est l'honnêteté même. « Pourriez-vous me prêter dit Boris votre passe ? je suis sûr d'avoir oublié mon portefeuille chez Madame Schermidt au 237...

    - Vous connaissez son nom?” Le souffle coupé, Boris voit le concierge détacher du clou le grand anneau qui tient les trente clés plates. «.C'est elle gui remplace M. Laurent ?” Boris acquiesce, la boule dans la gorge. « Je vous accompagne. » Grossmann est bavard. Il faisait partie des "Malgré Nous" sous le Troisième Reich. Il en est miraculeusement revenu. Il aime bien raconter. Le portail vitré du 26 s'ouvre sans effort : « J'ai le même passe que le facteur » dit Grossmann.Boris monte les étages avec le boiteux. « Dix ans qu'on attend l'ascenseur...Regardez l'état de la moquette... - Il faut bien que les escaliers servent à quelque chose." Vous dites des conneries, Monsieur Grossmann. Voici la porte ouverte. Boris écarquille les yeux et grave tout dans sa tête : le corridor de biais, très court, très étroit, vers la gauche ; trois portes ouvertes, la salle à vivre claire, avenue Gristet, bruyante; la chambre au fond, sombre, retirée - « salle de bain, cuisine » dit le portier - « je vois bien » dit Boris. Difficile après cela d'imaginer, de l'autre côté, son propre foyer, solitaire – il ne ressent pas son appartement – où est-ce qu'il colle-t-il son oreille? Très exactement ? ...Ça n'a pas du tout la forme d'un L... Boris ne cherche rien. Il ne bouge pas. Grossmann comprend ; il reste en retrait, muet. Trop d'immobilité, trop de respect dans le corps du Russe lorsqu'il s'approche enfin des étagères et lit les titres lentement, le "Zarathoustra" de Nietzsche, "l'Amour et l'Occident", « Deutsches Wörterbuch », « A Rebours" de Huysmans, un Traité de Diététique – une Bible - quelques ouvrages sur le vin.

    Belle pine d'ardoises à Tulle ROMN.JPG

    Une collection de "Conférences" des années trente - dis-moi ce que tu lis...? La penderie est restée ouverte ; ils y voient une proportion égale de vêtements féminins et masculins - chacun sa moitié de tringle : des habits soignés, sans originalité excessive. Revenant au salon à pas précautionneux Boris aperçoit contre son mur un tourne-disque. J'aurais dû commencer par-là. Sur la platine "Ti sento", rock-pop italien. Boris coupe le contact; le voyant rouge s'éteint. Qui relèverait mes empreintes ? La pochette, luisante, à l'ancienne, représente une femme fortement décolleté‚ cuisses nues, décoiffée, en justaucorps lamé. «Madame Serschmidt ne vit pas seule, dit le concierge. Boris a inventé ce nom. Il s'informe gauchement (« Reçoit-elle des visites ») - Vous devez le savoir, Monsieur Sobrov.» Boris repère encore la Cinquième de Beethoven, la Celtique d'Alan Stivell, René Aubry et un double album de folklore maori.

    Plus la Messe en si mineur, BWV 232. Jamais il n'a rien entendu de tout cela. Le concierge propose de manger un morceau. Boris refuse, effrayé. « Mais elle ne revient pas avant six heures ! » Boris se retient si visiblement de poser des questions que l'Alsacien précise malignement : « Je reçois les loyers au nom de Monsieur Brenge". Il prononce à l'allemande, "Brenn-gue". - C'est peut-être son frère qui paie ? ...Serschmitt est son nom d'épouse, elle a divorcé... » Grossmann ne confirme rien. Il se dirige vers le réfrigérateur : « Vous saurez toujours ce qui se manche ici ! » - des oeufs, des pots de crème de langouste, un rôti froid en tranches et trois yaourts. « A la myrtille », dit le concierge ; il se sert, rompt du pain, choisit du vin. “Tant pis pour la langouste”, dit Boris - ils s'empiffrent - Boris veut faire parler le gros homme. Seulement, il n'y a plus rien à ajouter. Le portier tente d'en faire croire plus qu'il n'en sait. Il prétend que "tout le monde défile » dans ce studio. « N'importe qui tire un coup ici, puis s'en va. » Ils se défient du regard en mâchant. Rien ne correspond aux longues attentes, aux exaltations de Boris dans son antre – à moins qu'il ne s'agisse d'une autre chambre ? « Gros porc » dit Marianne le lendemain ; « Tu y es allé. Je sais que tu y es allé. Je ne voulais pas que tu y ailles. Saligaud. Vulgaire. Je t'ai vu entrer dans l'immeuble avec le mari de la mère Vachier. « Tout le monde y vous a vus monter la cage d'escalier. Même que tu es entré dans l'appartement, et que tu as regardé partout, fouillé partout, dans les livres, dans les disques, même entre les robes. Et vous avez bouffé du saucisson et du pâté de langouste et ça c'est dégueulasse. Au goût j'veux dire.

    - C'est chez toi ? - Ça ne te regarde pas. Déjà que tu me fais reluquer les grosses qui descendent les escaliers, et quand il y a de la musique tu arrêtes la leçon de maths même si j'ai rien compris et tu colles ton oreille au mur comme un sadique.

    - C'est ta mère qui habite là ? - Dans ton quartier pourri ? on est riches nous autres, on a une BMW, on va aux sports d'hiver et c'est pas toi qui pourrais te les payer pouffiard. - Tu veux une baffe ? - .Je le dis à maman et tu ne me revois plus et tu seras bien emmerdé parce que tu es amoureux de moi mais tu peux courir et si tu me touches j'appelle les flics.

  • A grands traits

    Terra incognita

    L'expression roman mort (« plus du tout de fiction, de l'information ! ») prête à rire depuis son apparition, début XIXe siècle. Voici

    Les cheveux, les mains et le foutoir ROMNESTRAS.JPG

     

    Du péché de chair POUR UNE MEILLEURE APPROCHE de Dieu.

    Entreprise « qui n'eut jamais d'exemple » où nous avons ébauché ou dégrossi nos marionnettes.

     

    Il est deux façons de rejoindre Dieu. :

    1° l'orgueil mathématique : quelques initiés ou mystes, en fins d'asymptotes, effleurent Dieu sait quelle image de Dieu

    2° l'humilité de a) celui qui ne mange ni ne chie

    b) celui qui admire en son miroir chaque partie de son corps créé, «  rendant grâce » à mesure, puis une fois pour le tout  : « Seule et unique prière ! » - ce prêtre exagère. Tous les prêtres exagèrent.

    Nous n'emprunterons ni cette voie, ni les autres.

    En revanche :

    - soit une strip-teaseuse  et deux hommes.

    - Grand A Maatz, né juste après la dévaluation du franc malien ; son nom signifie, en germanique, « le nigaud », « le niais ». Son âge restera fixé à 36 ans, le vôtre. Il a votre taille. Lieu de naissance et signes particuliers : les vôtres. Nationalité  française. Études de médecine, externe 4 ans puis 3 ans d'internat. Thèse : « Soins primaires et Outils de veille », mention passable.

    - Grand B Nau.

  • Le Singe Vert n° 103

    DER GRÜNE AFFE - LE SINGE VERT Nr/N° 103

    haro shébétsi (tzigane)Flèche ROMNESTRAS.JPG

    Rédaction-édition-diffusion

    KOHN-LILIOM dit COLLIGNON

    oeuvres dans "In Libro Veritas"

    courriel colber1@laposte.net

    blog kohnlili@blogs.sudouest.fr

    Citation 1224

    Je n'appartiens à aucun parti : je n'ai pas de drapeau, je hais tous les drapeaux, y compris le drapeau rouge. Je suis un bourgeois, et ne mets pas un faux nez de prolétaire

    DARIEN (1861- 1921 )

    CCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCC



    LA FEMME, LE PRETRE ET LE PSYCHIATRE

    incipit (prononcez "inssipitt" bande de sauvages on ne dit pas "l'alboum" ni "le calcioum" ; je t'en foutrais moi de la prononciation "latine". Quand on ne sait plus le latin on ferme sa gueule)

    Le jour de mes cinquante-six ans je me suis pris une grosse claque dans la gueule.

    Je reviens du travail et qu'est-ce que je trouve chez moi, deux arnaqueurs du genre à m'emprunter sept briques remboursables au compte-gouttes en criant misère tous-les-mois-quand-j'y-pense, total c'est encore moi le blaireau qui râle, ma meuf me dit j'avais pensé tu penses ma conne ? que ça te ferait plaisir d'avoir des invités putain c'est tes amis pas les miens, ton idée pas la mienne, ce prêt à la con dans le dos pendant que je bosse et que t'as rien à foutre at home à part glander, ni talon de chèque ni reconnaissance de dette merci bobonne t'es l'amour de ma vie, bon anniversaire et bonne soirée jusqu'à deux heures du mat' à 7h je repartais bosser ma femme toujours au lit et d'un seul coup d'un seul j'ai plus voulu voir personne plus parler ni boulot ni famille, ma carte bleue le train jusqu'à St-Flour et me v'là

  • Un plan

     

    12 : Le palais de l'Aurore, le "rap" des vers latins, les niaiseries botaniques, Dieu est né en exil, sourire de Ricimer le Balafré... Plein la gueule ROMNESTRAS.JPG

     

    13 :

    Mention d'une vie imaginaire de Sidoine, déjà rédigée, mais fade. Comment cet ultramondain a-t-il pu devenir ultradévot ? Préciosité liturgique et érudition ecclésiastique. Le brigandage régnait-il à ce point ?

     

    14 :

    Habituelles flagorneries. Classer, tuer, mêmes obsessions humaines. Au guerrier romain succède le Krieger. Exténuation du monde romain. Les chapeaux pris pour des pensées. Prolongation de la littérature romaine, jusqu'au Trinity College of Dublin. Lisons à haute voix.

     

    15 :

    Le roman d'Anglade, ses raideurs ; il ignore Loyen... Anglade et le pseudo-Frédégaire. Papianilla, enceinte et gnangnan. Rejeton de préfet désespéré par la livraison de l'Auvergne invaincue.

     

    16 :

    Du paganisme au christianisme, mêmes puérilités littéraires. La tragédie de la frivolité. Les erreurs de langage d'un Anglade, ou des bandes dessinées.

     

    17 : survol du C. II II, v 18 ; 223 ; vv 307-309 ; 317- 347 ; 358-360 ;

    Exorde au panégyrique d'Anthémius, Visite de l'Italie au Tibre, Eloge de Ricimer : notre époque n'a pas du tout les mêmes références que celle-là.

     

    18 : II 387 puis 407-449

     

    "Le séjour de l'Aurore", d'où vient Anthémius, où le printemps est éternel. Compliments ronflants. Primo Levi survécut en récitant du Dante - ô littérature occidentale ! elle aura survécu, même grâce à des bagatelles. Esthétisme différent du nôtre. Retour au style poudre-aux-yeux de Sidoine. L'Aurore et ses petits seins écartés. Description du déjà-sculpté (mais c'est ainsi qu'il défend les lettres et sauve les meubles). Rappel des anciennes dominations de l'Orient... Poésie soldatesque... Déités radotantes... Pourquoi les Romains n'ont-ils pas poussé jusqu'en Chine ? "monde étroit, connaissances désinvoltes" !

     

    19 II 450-455

    Sidoine inconscient. Passe d'une louange à l'autre. Frontières du bien et du mal devenant très poreuses. Début du Panégyrique d'Anthémius, dont Sidoine ignore tout. Rappel de la scission de l'empire à la mort de Théodose. Se la joue "ancien combattant". "Tout ce que j'écris est sacré."

     

    - nous rejoignons le panégyrique d'Anthémius.

    Glycerius. Julius Nepos.. Anthémius lui aussi sera proprement rétamé.

     

    20 & 21 sur Avitus reportés plus loin.

    22

    Succession des fantoches, énumérations détestables de Sidoine, programme à venir des supplications en gigogne.

     

     

    23 459-461

    Rome tombe aux genoux de l'éternelle Aurore. Que la vie serait plate sans les brouillamineuses métaphores ! Les traductions qui se passent de génération en génération. Liebermann et ses méticulosités glosatrices. Il ne nous reste que cela, à nous autres les Assis : la mort viendra calme, dans la foulée.

     

    24

    466-469

    Les lambeaux de nos profs de fac.Vociférations contre "Taïte-Laïve". Disparition des lettres anciennes. Du fascisme en moins. Poussiéreux élans de nos latins moribonds.

    (25 : IV 9-13 transposé après 38)

     

     

    26 III 471-486

    Vespasien et Titus, grands massacreurs de Juifs. La victoire d'Actium encore en filigrane. Statuette bâclée de Sidoine à Clermont, jadis si vivant. "Caton le vieux con" de Jean-Charles - ma préférence pour ces époques où je ne peux plus rien - nul ne ressuscite les empires perdus. Sidoine ne sait rien d'Anthémius. Il meuble. Parle d'Alypia, embrochée par une bite boche. Que pensait-elle ? "M. Fleurette".

    Personnifications incessantes et stupides des objets. Sidoine célèbre un Barbare.

  • Impro diabolique

    Mes mots de passe renvoient à un seul identifiant. Or, j'ai deux identifiants, au moins. C'est le bordel. Vive la Charente.

    Verrière ROMNESTRAS.JPG