La femme d'à côté refusée
Alors comme ça c'est toi la femme d'à côté. Avec tes airs triomphants, certaine de te faire aimer ; avec tes yeux de braise et ton air de cours après moi que je t'attrape. Parce que c'est con, les hommes, un sourire, emballé c'est pesé. Par le bout du nez - enfin le nez... Vous n'avez qu'à vous baisser - oh pardon... Nous les hommes, quand on est seuls, on le reste. Vous n'en avez rien à foutre des hommes. Rien à redire, d'ailleurs ; sauf quand vous vous mêlez de nous faire la morale - c'est la meilleure. Femmes d'à côté, d'un autre monde. Le monde des femmes. Celui de la faiblesse. Tu parles. Les hommes, ça le fait mal. Ça viole, Ça tue, ça étripe, ça dépèce. Faut voir le costume qu'on nous taille dans les médias. On en a pour trois âges de glace. Une joggeuse par-ci, une petite fille par là . Sans compter les guerres. Qui est-ce qui fait les guerres ? Gagné, les hommes. Odieux on vous dit. Ou ridicules : ça souffle comme un bœuf enfin un taureau (impuissant, ou violeur ; vous, vous n'aviez rien demandé). L'homme d'à côté, il bat sa femme. Une femme sur dix ! Vous vous rendez compte ! Vous croisez des femmes dans la rue : une, deux, trois,... dix : une femme battue. - 3 femmes par jour meurent sous les coups de leur compagnon - combien d'enfants, sous les coups de leur mère ? Plus encore.
Ô femme d'à côté, inciter les hommes à pisser assis, par voie d'affiches dans le métro, ça c'est du sérieux ; mais quand on pend des filles de seize ans pour "mauvaise conduite", attention, faut pas stigmatiser, silence radio. Bien sûr, salaire égal, droit de vote, liberté totale. Mais de là à se faire poursuivre pour harcèlement, pour attouchements, et dès qu'on rate sa baise, pour viol - c'est un peu fort tout de même. "'Il faut aller vers l'autre" Bonjour madame. Ah pardon vous êtes lesbienne ; logique - suis-je bête - moi aussi j'aime les femmes - ça va je n'insiste pas !“ que de dégâts juste avec ce truc qui pendouille j'arrête parce que je vais dire des conneries.
Alors que j'ai toujours adoré les femmes, celles d'à côté (forcément, les autres on ne les voit pas). Nous perdons notre ignoble domination n'est-ce pas, je ne me suis jamais autant aperçu que j'étais un saligaud qu'en regardant les journaux et la télé. Alors maintenant la femme est libérée, flic elle tire mieux que les mecs - mais qui est-ce que je vais protéger, moi ? Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui apporter ? - attirante, sexy ? Non : revêche, rébarbative. Et l'amour dans tout ça ? (j'oubliais : pas de prostituées, ils ne pensent qu'à ça ma parole) - “ il faut avoir confiance. Ça ne se décrète pas comme ça, la confiance. C'est une longue approche. La femme d'à côté ? Elle a tout son temps. Les hommes vous savez c'est dégueulasse : ça a besoin de ça avec une femme en vrai.Alors la femme d'à côté, eh bien on la met de côté. Elle est libre. Elle est seule. Où est le problème ? Ceci est un texte de fiction. Quoique.
Commentaires
Je pense l'avoir déjà dit, mais Métaphysique du sexe de Julius Evola est un livre essentiel sur les rapports au sexe opposé.
Récemment, Les Démons du Bien d'Alain de Benoist proposait une critique du féminisme qui vaut le détour.
AdB cite, chiffres et sources à l'appui, un nombre important de fausses accusations de viols aux Etats-Unis : de nombreux suspects auraient été innocentés grâce à des tests ADN.
Quant aux inégalités de salaires, il s'agit d'une mystification. Une femme qui travaille à mi-temps gagne logiquement moins qu'un homme à temps plein...
Les métiers à haute pénibilité restent jusqu'à preuve du contraire essentiellement masculins. Et on ne voit pas pourquoi seuls les métiers à haut salaires devraient accorder une place plus grande à la parité.
Il existe aussi une violence spécifique aux femmes : les infanticides le prouvent. Il existe d'ailleurs des prisons pour femmes, ce qui est bien la preuve que la femme n'est pas une victime par essence comme certains essaient de nous le présenter.
Il est clair que le néo-féminisme et la théorie du genre sont des stratégies perverses des initiés qui nous dirigent.
Nous sommes bien d'accord mon cher. Ma femme est sans cesse couchée, et moi, je suis son gardien assigné à résidence, sous prétexte de "dépression", qui ressemble comme deux gouttes d'eau à une flemmingite chronique. Mais moi, quand j'ai donné la parole de rester, je reste... Quant à voir des femmes maçonnes ou terrassières, en effet, on n'en est pas prêt... Pour le sexe, on ne peut pas dire que j'y aie été follement encouragé. La femme libérée, c'est surtout une invention de cinéastes et de jounaleux. Enfin, chacun sa m... !
Des femmes maçonnes... ah, dans certaines obédiences, il paraît que...