Proullaud296

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Mes rêves en pâture

 

 

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Nombreux rêves. Tout à la fin : suite à une très bonne émission, où j'imagine qu'on me félicite, une grande jeune femme rougeaude et enveloppée mais appétissante se laisse entraîner sans trop de résistance dans une remise du studio, et embrasser sur la bouche. Je lui fais passer les mains par ma chemise pou rqu'elle puisse se réchauffer les doigts sur mes côtes, nous nous embrassons à nouveau sur la bouche, elle trouve cela exaltant, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas touché un homme. Deux copines nous surprennent d'un air de blâme, elle les suit pour nous justifier avec enthousiasme, et moi je dirais qu'elle s'exalte bien pour une simple pelle.

 

Il faut transformer tous ces rêves en mythe... Recherche de la femme ?

 

 

 

L'ibis.JPG03 12

 

Chez Muriel, et aussi un peu à Buzancy (Aisne). Devant moi un tapis de souris humide où figurent des curseurs de table de mixage. Je les déplace avec les doigts et cela donne une harmonie très prenante aux ondes Martenot, une mélopée répétitive, évoquant une grande villa très claire, sur les syllabes prolongées “Al-GE-RIE”. Tout le monde m'écoute avec respect, puis le tapis s'assèche, les représentations graphiques de curseurs ne peuvent plus s'animer, la symphonie s'éteint.

 

 

 

06 12

 

Après un cours donné à quatre ou cinq élèves assez insolents dont la fille Bartherotte, mais à qui je manifestais une indulgence amusée, je suis jeté en costume du XVIe siècle dans les douves asséchées et boueuses d'un château d'où mes appels au secours ont uen grande difficulté à me faire extraire par mes élèves eux-mêmes.

 

 

 

07 12

 

Je fais cours à uen classe passablement agitée, cours réussi mais fatigant. Mon père est à côté de moi, jeune, dynamique, c'est lui l'inspecteur. Je lui dis dans le couloir que c'est bien ; pour une fois, cela suffit. Mais je serais épuisé de continuer : je suis en retraite, tout de même ! Au réfectoire, les serveuses sont peu aimables, je dois prendre des assiettes en plastique. Mauvaise cuisine. Chez moi, c'est haut de plafond, très clair, bruyant (sur la rue), pas encore de meubles, ville inconnue. Annie et Sonia sont en courses, je regarde des photos sur un appareil numérique, apparaît Dumasson, joyeuse et sympa, sur l'écran ; comment dissimuler cela si l'on revient ? Il faudrait jeter la cassette entière...

 

13 12 04

 

Au sommet d'une pente rocheuse, une fenêtre incrustée dans une ruine est ouverte devant moi, elle donne sur une immense déclivité en forme de ravin, paresmée de rochers et de prairie, dans la brume. On essaye de me persuader que je pourrai planer sans danger au-dessus de ce paysage, en vertu de pouvoirs exceptionnels. La pente commence presque immédiament. Je me recule, je refuse.

 

18 12 04

 

Avec Leonardo di Caprio, accroupis de nuit devant deux tuyaux sur le sol ; il faut toucher le bon. Sinon c'est l'explosion. Il se décide enfin, rien ne se passe. Il se redresse en me disant d'un air suffisant qu'il faut savoir se montrer viril.

 

Commentaires

  • Un très bon article merci beaucoup et à bientôt.

    Marie.

  • Mais non, mais non...

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